En France, la loi du 8 janvier 1993 permet de donner n’importe quel prénom à son enfant, mais les législations sont parfois plus sévères à l’étranger. Pour jeux de mots douteux et mauvais sens de la plaisanterie, il y en a quand même certains qui ne sont pas passés sur l’acte de naissance. Voici 15 exemples de prénoms interdits en France, merci la loi !
En 2006 à Montpellier, des parents ont été forcés par la Cour d’appel de changer ces noms en « Roger » et « Raymond », dans la joie et la bonne humeur, s’il vous plaît.
Un autre prénom interdit en France en raison du nom de famille de l’enfant « Renaud ». Le hasard n’y était sûrement pas pour rien, les parents ont tenté une mauvaise blague qui n’a pas été appréciée par tout le monde.
En Bretagne dans les années 80, des parents ont voulu nommer leur enfant Gloarnic, soi disant en référence à leurs origines mais il n’apparaît sur aucune liste de prénoms bretons. La Cour a donc refusé l’attribution, à juste titre.
À Rennes en 1996, les parents ont finalement cédé et renommé leur fille Zoé. En effet, Folavril, un prénom étrange qui était en référence à la célèbre chanson de Voulzy ? Qui sait ce qu’ils avaient en tête !
Plus récemment en 2015, à Perpignan, un couple a souhaité appelé son enfant « Mini-Cooper » tandis qu’un autre optait pour « Prince-William ». Les deux prénoms ont été interdits par le tribunal français, car ils allaient à l’encontre du bien être de la petite fille et du petit garçon.
Valenciennes, en 2014, c’est un prénoms interdit en France qui a fait le plus parler. Les parents voulaient appelé leur enfant Nutella, évidemment cela a été interdit en France.
Toujours en 2014, en même temps que le petit presque Nutella, une famille choisit « Fraise », un prénom interdit en France, alors que Clémentine, Prune, Rose ou même Pomme sont assez courants. Apparemment à cause de l’expression « ramène ta fraise » qui aurait fait de l’enfant le sujet de moqueries.
En hommage à Michael Jackson, le petit nouveau-né de la Somme, frère de Mélodine et Djoly a été finalement renommé Jean, pour plus de discrétion. Le juge n’était pas un groupie de la star de la Pop, apparemment.
On a aussi vu des Tarzan, Mowgli ou encore Pluto… Dans l’Oise, en 2009, des époux souhaitent rendre homme au personnage de la bande dessiné Titeuf. Après une longue bataille, ils doivent cependant renommer leur enfant, et « Tchoo! »
C’est un couple de bretons qui voulaient appeler leurs jumeaux par ces prénoms ridiculisants. Tous deux interdits par l’état français, les enfants l’ont échappé belle.
Un prénom qui ressemble plus au titre d’un mauvais polar, il a été mis sur la liste noire des prénoms en Nouvelle-Zélande. C’est une catastrophe…
À Charleroi, c’est en Belgique et non en France que cette demande a été refusée. Un accouchement traumatisant ? La gênance complète en tout cas ! Vraiment, merci la loi.
Le prénom qui devait se prononcer « arobase » avait été choisit par un couple de chinois un peu trop geeks sur les bords, un prénom qui aurait aussi été interdit en France.
Trop, c’est vraiment trop ! Ce charabia a été choisi en 1996 par des parents qui le prononçaient « Albin ». C’était un signe de protestation contre la loi suédoise sur les prénoms. Quand même, et l’appel en cours, ils y avaient pensé ?
Si vous n’avez pas vu le film Le Prénom, on ne vous spoil pas et on vous laisse juste un extrait :
Oui je trouve ridicule de donner des prénoms qui n’existent pas. Cette surenchère dans l’originalité, c’est plus des prénoms, c’est des posts-its collés sur le front « prière de ne pas oublier que je suis différent ».
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