10 conseils pour enfin passer le permis de conduire
Kesso est une étudiante parisienne. Elle est en licence 3…
Le permis de conduire est une étape par laquelle passe tous les étudiants. Evidemment, à partir du moment où l’on sait qu’on va le passer, on commence à stresser, on se dit qu’il y a des chances de le rater. En plus, on peut se faire des idées en croyant que l’inspecteur est contre nous alors qu’il a lui-même été moniteur avant. Voici donc 10 conseils pour enfin passer le permis de conduire.
1. Se reposer
Quelques jours avant de passer votre examen, il faut bien se reposer, bien dormir, en particulier la veille afin d’être en pleine forme le jour de l’examen. Le fait de s’être bien reposé permettra de se concentrer le jour J.
2. Se détendre
Le plus important selon moi est de ne pas stresser les jours avant l’examen et le jour J. L’examen du permis de conduire est stressant car on est évalué. Le mieux est donc de se calmer, de faire le vide dans sa tête pour ne pas perdre nos moyens à n’importe quel moment de l’examen.
3. Etre concentré
La concentration est une des clés de réussite pour le permis de conduire. En effet, le fait de se concentrer permet d’éviter des pièges « stupides » par inattention comme une priorité à droite. Lorsque l’on est concentré, on fait attention à ce qui nous entoure, ce qui nous évite d’agir à la dernière minute.
4. Ne pas être déstabilisé par l’inspecteur
Certains étudiants qui passent leur permis de conduire pensent que l’inspecteur est contre eux. Déjà qu’on est évalué par une personne qui ne nous connaît pas comme notre moniteur. Le truc, c’est que l’inspecteur a aussi été un moniteur avant. De plus, il arrive à l’inspecteur de nous faire des remarques comme « penser à contrôler vos angles morts ». Dans ces moments-là, il ne faut surtout pas le contredire et montrer que l’on est d’accord avec lui.
5. Conduire régulièrement
A partir du moment où nous savons que nous allons bientôt passer notre examen, il faut poser des heures de conduite. Conduire le plus possible permet de se perfectionner et aussi de se débarrasser de nos derniers doutes. En plus, conduire quelques jours avant l’examen permet de ne rien oublier en ce qui concerne la conduite.
6. Maîtriser les règles du code
Comme nous le savons tous, si nous passons notre permis de conduire, cela veut dire que nous avons eu notre code de la route. Une fois que nous avons notre code, le tout est de ne pas l’oublier parce que c’est grâce à lui que nous savons comment nous comporter sur la route.
7. Montrer votre confiance en vous
Lors de notre examen, l’inspecteur peut voir si nous sommes stressés à travers notre conduite. Si le fait de rater une priorité à droite, le fait de conduire trop lentement montre que nous ne nous sommes pas à l’aise. Un excès de lenteur est un motif suffisant pour être recalé. Le truc, c’est de conduire comme si nous étions uniquement avec notre moniteur, avoir une conduite dynamique de sorte à montrer que nous contrôlons la voiture et non l’inverse.
8. Penser aux questions à propos de la voiture
Même si le plus important est de bien conduire lors de notre examen, il ne faut pas oublier qu’à la fin, deux questions nous sont posées à propos de la voiture. Ces questions concernent l’intérieur de la voiture tout comme son extérieur. L’inspecteur peut donc nous demander comment mettre les feux de route ou l’endroit où se trouve le liquide de frein sous le capot.
9. Amener sa carte d’identité
Le jour de l’examen, nous sommes tellement obnubilés par le fait de le réussir qu’il peut nous arriver d’oublier une chose importante : la carte d’identité. La carte d’identité est importante car c’est elle qui confirme notre identité auprès de l’inspecteur et sans elle, nous ne pouvons pas passer notre examen.
10. Faire comme s’il s’agissait d’une évaluation banale
Comme tout le monde, on souhaite décrocher le permis de conduire du premier coup mais il ne faut pas se focaliser sur cela. Autrement dit, il ne faut pas penser que cet examen est une question de vie ou de mort car nous avons plusieurs chances.
Kesso est une étudiante parisienne. Elle est en licence 3 de sociologie à l’université Paris-Sorbonne.